Nous avons décidé de lancer cette action en coopération avec des associations et des citoyens. Il ne vous sera réclamé aucune participation supplémentaire.
La stratégie consiste à former un référé-liberté contre ledit décret associé à
une question prioritaire de constitutionnalité. C’est à dire qu’à l’occasion de cette procédure, nous allons demander au Conseil d’état de saisir le Conseil Constitutionnel pour se prononcer sur la constitutionnalité de l’article 2 de la loi du 23 mars 2020.